YICHAN 的小屋

Un site utilisant WordPress.com

2021/02 poulet frit à la taïwanaise 鹽酥雞


Le poulet frit à la taïwanaise de Christina Huang (Zaoka)

Marinade : minimum 6 heures
Préparation : 15 minutes
Cuisson : 10 minutes
 

Ingrédients (pour 4 portions) :

– 2 cuisses de poulet
– 20 ml de sauce soja
– 50 ml d’alcool de riz taïwanais (si vous n’en trouvez pas, du saké de cuisine marche aussi)
– 5 gousses d’ail haché
– 1 cuillère de mélange cinq épices en poudre (les cinq parfums sont un mix de cannelle, graines de fenouil, anis étoilé, clou de girofle et poivre de Sichuan)
– les 3 poivres de Penja : Penja est une petite ville du Cameroun, au terroir volcanique. Cette composition de 3 poivres (blanc, noir et vert) dégage une saveur légèrement piquante.
– fleur de sel
– quelques feuilles de basilic thaï
– poudre de patate douce (en vente dans les supermarchés asiatiques) (250g 的雞腿排要加入 20g 的psyllium+ 20g 的杏仁粉)
– huile de friture

Déroulé :

1 – Désossez les cuisses de poulet et découpez la chair en morceaux de 4 cm

2- Préparez la marinade : dans un petit saladier, versez la sauce soja, l’alcool de riz taïwanais, l’ail, les cinq épices et les 3 poivres de Penja. Massez un peu la viande, et laissez-la mariner pendant minimum 6 heures. 或者只是30 分鐘。

3 – Faites chauffer l’huile à 170 °C, enrobez bien les morceaux de poulet dans la poudre de patate douce. Laissez environ 3 minutes. 


4 – Faites frire le poulet en deux fois. La première fois, faites frire le poulet à 170 °C jusqu’à ce qu’il flotte à la surface de l’huile. Retirez le poulet et laissez-le refroidir un peu. Puis faites-le frire une deuxième fois à 180 °C (jusqu’à ce qu’il flotte à la surface de l’huile également). 也可以用氣炸鍋180度12-15分鐘。

5 – Retirez le poulet et déposez-le sur du papier absorbant pour retirer l’excédent d’huile

6 – Préparez la garniture : faites frire le basilic thaï pendant 3 secondes seulement. Gardez la feuille complète. 


7 – Assaisonnez avec de la fleur de sel et du poivre de Penja. Bon appétit !

Poster un commentaire »

2021/02 巴黎 亞洲 台灣餐館 restaurant asiatique

Faits d’arme : Son resto de poche a été élu par Time Out meilleur taïwanais de la capitale ! En cause, de succulents gua bao bien sûr, mais aussi sa recette de poulet frit, moelleux à l’intérieur, bien aillé et croustillant dehors… Un régal qu’elle a accepté de dévoiler pour nous en exclu ici !

Où goûter sa cuisine ? Zaoka, 3 rue des Patriarches, 5e.

https://www.timeout.fr/paris/restaurants/a-paris-ces-10-chef-fe-s-incarnent-le-renouveau-de-la-cuisine-asiatique?fbclid=IwAR2TXDMTcYh38dyjSbAq8ZwF4qOuZ-CrYbtdQcnLErqpI4MMWp2vxHR3_kc

Cette mordue de jazz joue du piano depuis l’âge de 3 ans ! Récemment, elle a aussi lancé Chinoiseries, un coolosse projet alimentaire avec sa pote Henrike Theda Klug, hongkongo-allemande. 

Où goûter sa cuisine ? Echo, 95 rue d’Aboukir, 2e.

 Nam, barista expert, a participé à de nombreux concours à Paris. Et s’avère incollable sur l’histoire du café de spécialité vietnamien !

Où goûter leur cuisine ? Hanoï Corner, 7 rue Blanche, 9e.

Tout comme le poulet karaage, son porn gyoza XXL fait partie des 13 plats qui nous ont aisé à survivre à 2020.Totalement décadent et fourré d’un steak mœlleux ! On adore.

Où goûter sa cuisine ? Go for ses ramens en click & collect et livraison chez Haikara ! Ici même, du mardi au samedi.

Faits d’arme : Passion pâté en croûte, comme en témoigne son compte Insta ! « En confinement, comme les restos étaient fermés, j’ai voulu proposer à la carte du Grand Bain quelque chose que tout le monde pouvait ramener et réchauffer chez soi, et qui soit aussi beau et bon que chez nous, au resto. » Résultat ? Ces désormais mythiques pies : de petites tourtes façonnées à la mano et fourrées d’un curry à la malaisienne (poulet/noix de coco), réminiscence de celui de son daron. 

Où goûter sa cuisine : A Belleville ! Le Grand Bain, 14 rue Denoyez, 20e. 09 83 02 72 02.


Faits d’arme : 
Après le succès de son resto (devenu le rendez-vous du Paris branché, où croiser Lou Doillon et consorts), cette âme sensible ressent le besoin de faire le vide. Esu lève le camp, part aux States (L.A), en Chine et Corée du Sud. Fasciné par la cuisine des temples, « la plus pure et authentique qui soit », il passera 3 mois à se lever à 5 du mat’ pour popoter aux côtés de la célèbre nonne bouddhiste Jeong Kwan, réfélée par la série Netflix Chef’s Table !

Où goûter sa cuisine ? C.A.M, 55 rue au Maire, 3e

Poster un commentaire »